Enquête publique nationale

Les inoculations pour le COVID-19 sont-elles sûres ?

Le CAERS a été développé pour enquêter sur les dommages possibles causés par les inoculations du COVID-19. En utilisant les ressources et les données disponibles, nous avons conclu qu’une enquête nationale indépendante est nécessaire pour protéger la sécurité de la population canadienne. Il faut rappeler que ces inoculations sont encore en phase 3 des études cliniques.

CAERS reconnaît et respecte les nombreuses personnes et organisations qui cherchent à former une coalition unie pour s’attaquer à toutes les violations des droits des Canadiens (tels que définis par la Charte des droits et libertés) – en particulier les dommages causés par les mandats qui ont été imposés à la population pendant la pandémie.

À l’avenir, la mission de la CAERS consistera à exiger une enquête sur les Canadiens qui ont été blessés ou tués par les inoculations.

Nous pensons qu’il est crucial que la collecte de données reste impartiale afin que la vérité soit clairement révélée concernant la sécurité des inoculations. Étant donné que la vie des gens est en jeu, il est essentiel que des audiences soient mises en place en utilisant des principes éthiques pour identifier les dommages afin de compenser et d’aider à la guérison des personnes blessées par les inoculations. Il est important que toutes les personnes qui pensent avoir subi un effet indésirable des inoculations puissent en faire part à leurs concitoyens. Des avocats et des médecins fourniront également des témoignages d’experts au cours des audiences en utilisant toutes les données disponibles. Si un préjudice est documenté, l’étape suivante consistera à organiser une enquête publique nationale indépendante afin de mener une enquête approfondie sur les inoculations. Si le préjudice est confirmé, il faut s’attendre à un moratoire immédiat sur toutes les autres inoculations de COVID.

Le CAERS reconnaît qu’une Commission de vérité et de réconciliation (CVR), qui pourrait résulter de cette enquête, pourrait prendre des années avant de porter ses fruits, et qu’elle aussi doit impliquer une transparence éthique de toutes les questions et un dialogue respectueux de toutes les perspectives.

Ces audiences doivent se dérouler aussi rapidement que possible afin d’aider les personnes déjà lésées et d’empêcher que d’autres dommages ne se produisent. Par exemple, nous ne voulons pas voir se répéter les tentatives léthargiques et tièdes qui ont caractérisé le traitement des victimes des pensionnats ou des Canadiens d’origine japonaise après la Deuxième Guerre mondiale.

La CAERS est déterminée à interdire tout esprit de division qui pourrait compromettre son objectif de recueillir des données exactes et impartiales essentielles à l’établissement de ces audiences et à l’atteinte de ses objectifs. Nous sommes neutres et impartiaux afin de maintenir notre intégrité et notre crédibilité – la population du Canada ne mérite rien de moins.

Le CAERS travaille actuellement à l’élaboration d’un document plus formel, avec des principes éthiques directeurs, et il sera bientôt rendu public. Nous continuerons à travailler dans l’intérêt de tous les Canadiens – indépendamment de leurs points de vue – ce que nous considérons comme l’essence de la démocratie.